Quand vendre un titre?

Publié le 25/02/2013 à 17:45, mis à jour le 25/02/2013 à 23:12

Quand vendre un titre?

Publié le 25/02/2013 à 17:45, mis à jour le 25/02/2013 à 23:12

© Redwall | Dreamstime.com

BLOGUE. 

Nous entendons souvent dire que la vente d'un titre s'avère nettement plus complexe que son achat. On sous-entend donc que définir si un titre devrait être acheté ou non constitue un exercice plus aisé que de déterminer le moment pour le vendre. 

Un lecteur nous a récemment écrit à ce sujet. Il posa quelques questions en ces termes : 

""Bonjour, je me pose une question concernant le MOS. Le titre d’Aecom est évalué à 32$. Cet été, on pouvait l’acheter 16$. Selon votre texte, on avait une marge de sécurité sur cet investissement. Donc selon l’analyse que l’on en faisait,  on pouvait acheter ce titre avec peu de risque.

Mon questionnement est sur la suite des choses. Le prix de vente considéré est de 40$. Est-ce que vous encaissez le 100% de profits à 32$ (ce qui est un bon coup) ou est-ce que vous attendez que le titre continue sa monté pour obtenir un meilleur rendement?

La vente est toujours compliquée. Est-ce possible d'avoir votre avis?"

Tout d'abord, nous n'émettrons pas une opinion spécifique sur le titre d'Aecom. Les gens qui nous suivent depuis un certain temps connaissent notre penchant pour les bilans peu endettés ainsi que notre discipline sur le prix payé. Nous les laissons en juger par eux-mêmes. 

À propos de ce blogue

Patrick Thénière et Rémy Morel sont associés et gestionnaires de portefeuille chez Barrage Capital, une firme montréalaise de gestion d'actifs. www.barragecapital.com

Les investigateurs financiers

Blogues similaires

Encore trop tôt pour sauter dans l’arène

Édition du 14 Juin 2023 | Dominique Beauchamp

ANALYSE. Les banques canadiennes pourraient rester sur le banc des pénalités quelque temps encore.

Banque du Canada: jusqu'à cinq baisses de taux d'ici juin 2025

14/06/2024 | Denis Lalonde

BALADO. Les données américaines sur l’inflation pourraient conforter la Banque du Canada dans ses baisses de taux.