Mauvaise nouvelle pour les femmes gestionnaires : leurs subordonnées, avec un "e", préféreraient travailler pour un patron de sexe masculin. En revanche, les hommes ne font aucune différence entre un superviseur ou une superviseure. C'est ce qu'on apprend dans une enquête menée auprès de 1 800 personnes par deux professeurs de l'Université de Toronto, et publiée en septembre dans la revue Journal of Health and Social Behavior. Les femmes qui oeuvrent sous la supervision d'une administratrice disent qu'elles subissent davantage de stress et ont une moins bonne santé physique et mentale que celles qui travaillent pour des gestionnaires de sexe masculin. Pour leur part, les hommes n'y voient que du feu et signalent le même état de santé, qu'ils travaillent sous leadership rose ou bleu. Les femmes gestionnaires bagarreuses au regard d'acier, à la Hillary Clinton, ne passent donc pas la rampe... du moins chez les femmes !
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